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ORL

Publié le  Lecture 9 mins

Lithiases des glandes salivaires

Victor GERMON, Jean-Marc FOLETTI, Cyrille CHOSSEGROS, Nicolas GRAILLON, Service multisite de chirurgie maxillo-faciale et orale, stomatologie, CHU de Marseille – hôpitaux de la Conception, Timone & Nord ; Aix-Marseille université: LPL, UMR€7309 & LBA, UM

La lithiase salivaire serait retrouvée chez 1 % de la population adulte. La glande submandibulaire est concernée dans 85 % des cas et la parotide dans 15 % des cas. La submandibulectomie pour lithiase ne se fait pratiquement plus depuis l’avènement des techniques mini-invasives (lithotripsie, sialendoscopie, abord combiné). Ces techniques reposent sur un bilan préopératoire détaillé, notamment avec un examen clinique orienté par l’ORL. Le bilan d’imagerie est dominé par le scanner non injecté. Contrairement aux lithiases rénales, les lithiases salivaires sont des lithiases d’organe et n’ont donc pas de lien avec le régime alimentaire. Il n’y a pas de lien franc avec les lithiases, rénales qui sont huit fois plus fréquentes que les lithiases salivaires. La seule cause locale retrouvée pour les lithiases serait, et avec un rôle relatif, l’intoxication tabagique.

Anatomie chirurgicale En pratique, le canal de Wharton peut être divisé en trois tiers : 1/3 antérieur en avant du croisement entre le Wharton et le nerf lingual, 1/3 postérieur intraglandulaire et 1/3 moyen, entre les deux autres tiers (figure 1). Figure 1. Vue postérieure du plancher buccal...

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