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Asthme

Publié le  Lecture 8 mins

ARIA, ou l’actualité de l’impact sur l’asthme de la rhinite allergique

Guy DUTAU, CHU Toulouse

Il y a un peu moins d’une vingtaine d’années, il était admis d’opposer deux types de rhinites allergiques (RA), saisonnières (RAS) et per-annuelles (RAP)(1). Cette distinction commode correspondait à des allergènes spécifiques : les pollens pour les RAS et plusieurs allergènes présents de façon cons tante dans l’environnement domestique (acariens, blattes, moisissures, phanères d’animaux)(2). Toutefois, l’analyse plus fine des observations cliniques a montré que cette dualité était souvent prise en défaut. Il y a un peu moins d’une vingtaine d’années, il était admis d’opposer deux types de rhinites allergiques (RA), saisonnières (RAS) et per-annuelles (RAP)(1). Cette distinction commode correspondait à des allergènes spécifiques : les pollens pour les RAS et plusieurs allergènes présents de façon cons tante dans l’environnement domestique (acariens, blattes, moisissures, phanères d’animaux)(2). Toutefois, l’analyse plus fine des observations cliniques a montré que cette dualité était souvent prise en défaut.

Si l’on observe les comptages polliniques, on retrouve la présence de pollens dans l’atmosphère de janvier ou même fin décembre (avec les pollens des diverses cupressacées), suivis par les pollens des différents arbres (bétulacées), puis des diverses graminées ou poacées, et enfin ceux des...

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