



ARIA, ou l’actualité de l’impact sur l’asthme de la rhinite allergique

Il y a un peu moins d’une vingtaine d’années, il était admis d’opposer deux types de rhinites allergiques (RA), saisonnières (RAS) et per-annuelles (RAP)(1). Cette distinction commode correspondait à des allergènes spécifiques : les pollens pour les RAS et plusieurs allergènes présents de façon cons tante dans l’environnement domestique (acariens, blattes, moisissures, phanères d’animaux)(2). Toutefois, l’analyse plus fine des observations cliniques a montré que cette dualité était souvent prise en défaut. Il y a un peu moins d’une vingtaine d’années, il était admis d’opposer deux types de rhinites allergiques (RA), saisonnières (RAS) et per-annuelles (RAP)(1). Cette distinction commode correspondait à des allergènes spécifiques : les pollens pour les RAS et plusieurs allergènes présents de façon cons tante dans l’environnement domestique (acariens, blattes, moisissures, phanères d’animaux)(2). Toutefois, l’analyse plus fine des observations cliniques a montré que cette dualité était souvent prise en défaut.
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